🧬 / 🧠 TSA : trouble du spectre autistique ou évolution de l'humain ?

On les appelle “troubles”.

On les classe, on les observe, on cherche à les corriger, à les “normaliser”.

Mais si on avait tout faux ?

Et si ce qu’on appelle TSA (trouble du spectre autistique) n’était pas un dysfonctionnement, mais une mutation ?

Une évolution silencieuse du cerveau humain à laquelle on n’a pas encore su s’adapter ?

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📈 De plus en plus de diagnostics… et toujours autant de mystère

Les chiffres explosent.

De plus en plus d’enfants, d’ados, d’adultes reçoivent un diagnostic TSA.

Et malgré les avancées scientifiques, on ne sait toujours pas dire pourquoi.

Pas de cause unique, pas de traitement miracle, pas de modèle unique.

Juste des cerveaux qui ne fonctionnent pas comme la majorité,

mais qui, souvent, ressentent plus fort, captent plus vite, pensent plus loin.

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🚫 Ce qu’on appelle “trouble” est peut-être simplement… “différent”

Et si le “problème” n’était pas dans le cerveau de la personne TSA…

Mais dans la norme sociale rigide, incapable d’intégrer d’autres manières de penser, d’aimer, de communiquer ?

Un enfant TSA ne regarde pas dans les yeux ? Et si c’était juste une autre forme de lien ?

Il a du mal à supporter les bruits, les tissus, la lumière ? Et si son système nerveux était plus affiné, plus sensible ?

Il s’absorbe dans ses passions pendant des heures ? Et si c’était de l’hyperconcentration ?

Il ne supporte pas l’injustice ? Et si c’était une lucidité crue, dénuée de filtres sociaux ?

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🧬 Une mutation sociale sous nos yeux

Ce qui est marginal aujourd’hui pourrait bien devenir la norme demain.

Des cerveaux qui rejettent les codes absurdes, qui ne supportent plus les injonctions, les hypocrisies, les faux-semblants.

Des cerveaux qui refusent de se suradapter à un monde malade.

> Et si les TSA étaient une forme de rébellion biologique face à une société qui va trop vite, trop fort, trop loin ?

Et si c’était une tentative d’évolution, pour retrouver plus d’authenticité, plus de sens, plus de cohérence intérieure ?

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🌱 Et si on arrêtait de vouloir les “réparer” ?

Peut-être qu’il est temps de changer de regard.

De cesser de chercher à les rendre “fonctionnels” selon NOS normes.

Et de commencer à apprendre d’eux, avec eux.

Parce que ces enfants, ces ados, ces adultes — parfois non verbaux, parfois trop bruyants, parfois “bizarres” —

nous montrent une voie différente.

Une voie plus sensible, plus honnête, plus libre.

Et ça, ce n’est pas un trouble.

C’est une force qu’on n’a pas encore appris à reconnaître.