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đŸ”Ș 1. Les sacrifices d’enfants : d’oĂč vient cette idĂ©e ?


On continue sur la mĂȘme lancĂ©e que les 3 prĂ©cĂ©dents postes et j'aurai fini avec cette difficile thĂ©matique ouverte par l'actualitĂ© rĂ©cente des affaires Epstein et Diddy


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đŸ•Żïž Rituels anciens (faits historiques) :


  • Carthage (PhĂ©niciens) : archĂ©ologues ont retrouvĂ© des fosses de nourrissons brĂ»lĂ©s — sacrifices Ă  Moloch.


  • Mythologies sumĂ©rienne, maya, aztĂšque : rituels sanglants d’enfants pour “apaiser les dieux”.


  • Bible : parle explicitement de sacrifices d’enfants (ex : Moloch) interdits par Dieu aux HĂ©breux.


âžĄïž Ce n’est pas une invention moderne. L’humanitĂ© a effectivement sacrifiĂ© des enfants pendant des millĂ©naires, dans des contextes religieux ou magico-politiques.


đŸ•łïž 2. Et aujourd’hui ? TĂ©moignages et signes inquiĂ©tants


📣 TĂ©moignages rĂ©currents :


  • Des dizaines de survivants d’abus rituels (SRA – Satanic Ritual Abuse) racontent :


  • Des cĂ©rĂ©monies organisĂ©es dans des lieux isolĂ©s,


  • Des tenues, chants, symboles occultes (pentagrammes inversĂ©s, Baphomet),


  • Des enfants abusĂ©s puis “sacrifiĂ©s”,


  • Des personnalitĂ©s masquĂ©es ou non identifiables,


  • Des films/snuff films parfois tournĂ©s.


Exemples :

  • Anneke Lucas (dĂ©jĂ  citĂ©e) Ă©voque la mort d’enfants dans les cercles Ă©litistes belges.

  • Fiona Barnett (Australie) parle de rituels avec des hommes politiques.

  • Jeanette Archer au Royaume-Uni tĂ©moigne de sacrifices et de rites "sataniques".



👉 Ces rĂ©cits se ressemblent Ă©normĂ©ment, malgrĂ© les annĂ©es, les pays, les cultures.


đŸ©ž Symbolique dans la culture :


Dans certaines loges occultes, le sang ou la peur d’un enfant est considĂ©rĂ© comme hautement “puissant”.


Le concept d’adĂ©nochrome (souvent exagĂ©rĂ© ou dĂ©tournĂ©), provient de cette idĂ©e : que l’adrĂ©naline contenue dans le sang d’un enfant effrayĂ© aurait une “valeur”.


MĂȘme si ce point est flou scientifiquement, il revient trop souvent dans les rĂ©cits pour ĂȘtre ignorĂ© ou de suite Ă©cartĂ©.



đŸš« 3. Pourquoi on n’en parle jamais ouvertement ?


🎭 Parce que ce serait l’ultime fracture mentale pour la sociĂ©tĂ©, t'imagine :


Admettre que des enfants sont tuĂ©s rituellement par des Ă©lites, ce serait dĂ©truire la confiance dans tout ce qui structure notre monde (justice, pouvoir, mĂ©decine, État).

Les mĂ©dias, mĂȘme indĂ©pendants, ont peur de perdre toute crĂ©dibilitĂ© s’ils en parlent. Et ca s'entend. Comme la chasse aux enfants si c'est reelle, ca parait tellement horrible que le cerveau ne peut pas l'imaginer. D'ailleurs il suffit de lire les commentaires des gens sur ces sujets qui sortent parfois sur les rĂ©seaux sociaux.



💀 Parce que les tĂ©moins sont :


Souvent enfantins, fragiles, discrédités,


MenacĂ©s, ou suicidĂ©s (🚹 voir Max Spiers, Isaac Kappy, Tracy Twyman),


Ignorés par la justice (preuve : aucun vrai procÚs sur les rituels en haut lieu).


đŸ”„ 4. Alors, faut-il y croire ?


Je te partage mon point de vue. Je dis pas qu'il faut nécessaire tout croire et penser que l'élite est pourrie jusqu'à la moelle osseuse. Ca peut aussi etre une stratégie d'inventer ces histoires pour cacher les réelles prouvées de pedocriminalités... Mais je dis pas qu'il ne faut pas y croire...

Restons plus que perplexe, un peut etre vaut mieux qu'un non affirmé.


> Si tu mets bout Ă  bout :


  • Les tĂ©moignages de survivants,

  • Les preuves archĂ©ologiques d’un passĂ© ritualiste,

  • Les liens entre pouvoir et pĂ©docriminalitĂ© (faits prouvĂ©s),

  • Les rumeurs persistantes dans les services de renseignement,



 alors je ne trouve pas dĂ©lirant de penser qu’une infime Ă©lite perpĂ©tue encore ces pratiques.


Pas à grande échelle. Pas tous les jours. Pas en plein jour.

Mais dans l’ombre, entre initiĂ©s, avec le sentiment d’ĂȘtre au-dessus de tout.


✊ Ce que tu peux faire :


Ne pas censurer ton instinct. Le tabou est leur outil le plus puissant.

En parler sans sensationnalisme. Avec lucidité, ancrage et preuves si possible.

Éduquer et Ă©veiller. Le rĂ©veil commence toujours dans les cercles invisibles, pas Ă  la tĂ©lĂ©.

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